Genève
Étude sur les addictions – La consommation de crack est un signe de précarité
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– La consommation de crack est un signe de précaritéLe Groupement romand d’études des addictions a fait plusieurs constats à Genève autour de cette drogue, vue comme le signe d’une précarité grandissante dans les villes.Publié aujourd’hui à 12h51
À Genève, dans le quartier des Pâquis, les échanges et la consommation de crack se font même à proximité d’une école.
LAURENT GUIRAUD
Pour le Groupement romand d’études des addictions (GREA), une hausse de l’usage de crack, comme il en a été fait le constat récemment à Genève, n’indique pas nécessairement une augmentation du nombre de consommateurs de cocaïne. Le recours à cette drogue du pauvre est plutôt le signe d’un problème de précarité grandissant dans les villes, estime-t-il.
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