Genève

De l’Ukraine à Genève, fuir pour sauver sa vie

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«La guerre, personne n’est préparé à ça.» Autour de la table, les visages sont graves. Dans les yeux de Polina et de Nataliya, le soulagement d’être à l’abri des bombes n’efface pas la terreur, la tristesse d’avoir dû quitter l’Ukraine en catastrophe, laissant un mari, des amis, toute une vie derrière elles. Reste la sidération, un état de choc qui se prolonge à mesure que l’agression russe se poursuit.

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