Genève

Crack à Genève: le Quai 9 sous haute tension

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Assise à l’une des tables mises à disposition de ceux qui se piquent, Sandra*, 57 ans, cherche une veine et peine à nouer son garrot autour du poignet gauche. Elle tapote sa seringue d’héroïne, qu’elle vient de préparer. «J’essaie de faire descendre les bulles, je ne vais quand même pas m’envoyer de l’air. On ne trouve que de la merde depuis que les dealers se sont mis à vendre du crack. En plus, ils se permettent d’être agressifs avec nous. Je viens de me faire insulter. Ils ont tendance à oublier que c’est grâce à des clients comme nous qu’ils arrivent à vivre!»

Et l’ambiance au Quai 9, a-t-elle changé? «On ne reconnaît plus les gens, avec cette drogue, se désole-t-elle. Ils sont devenus complètement fous. Il n’y a que des bagarres, surtout…

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