Berne à l’écoute des gens du voyage

Le canton de Berne se donne trois ans pour mieux régler la circulation des gens du voyage. Il veut éviter que des tensions surgissent avec les autorités des communes dès l’arrivée de caravanes de Roms, Sinti (Manouches) ou Yéniches sur des places a priori non prévues pour les accueillir ou lorsque ces lieux n’auraient pas été nettoyés à temps après le départ des caravanes. Les expériences et réactions peuvent varier d’une commune à l’autre, d’un cortège au suivant.

En l’occurrence, depuis le 1er juin, Berne compte un délégué engagé à 80% pour piloter un groupe de travail qui planche sur ces questions depuis plusieurs années, mais sans réelle vision. Un bureau composé de fonctionnaires spécialisé·es dans la formation, les affaires sociales, l’économie ou encore la culture. Mais également des représentant·es des communes, de la police et de membres de la fondation Assurer l’avenir des gens du voyage suisses.

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