Zurich

Zurich – Je te fais la cour, je te flatte. Tu ne peux donc pas aimer?

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A chaque ville ses animaux. Les chats d’Istanbul, les chiens de Bogota, les poules de Kinshasa. Je suis assise place Bellevue sur un banc de la promenade. Il est neuf heures du soir, le lac brille d’un bleu argenté. Des gens mangent des olives et des sushis au bord de l’eau, boivent de l’Aperol Spritz dans des gobelets en plastique, de nombreuses langues se font entendre. Le lac déborde sur la rive. Les cygnes nagent plus haut que d’habitude.

Les chats d’Istanbul, les chiens de Bogota, les poules de Kinshasa. Les cygnes de Zurich. Zurich et ses cygnes. Zurich et ses mille cygnes. Les curieux cygnes de Z. C’est dans les cygnes que la ville trouve son écho. Tout ce qui existe à Zurich se reflète dans leur forme. Enveloppée de leurs plumes blanches, la ville elle-même émerge de l’eau sombre. Alors que cette image me vient à l’esprit, l’un des cygnes est pris d’un curieux battement d’aile. Les parties de son plumage bougent, mais semblent ne pas…

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