France

un front républicain poussif à Schiltigheim et Bischheim

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En 2017, au lendemain du premier tour, les appels à faire barrage à l’extrême droite avaient afflué. Cinq ans après, l’ambiance a radicalement changé. Pour constituer un front républicain, on ne se bouscule pas au portillon.

Soutiens et volée de bois vert

Dimanche soir, Danielle Dambach, la maire écologiste de Schiltigheim, annonçait qu’elle voterait Macron au second tour, « la mort dans l’âme ». Lundi, Benoît Steffanus (EELV), un de ses adjoints, a révélé qu’il voterait pour « le seul candidat républicain », Emmanuel Macron. Gérard Schann (EELV), conseil municipal bischheimois, eurométropolitain et régional, fera de même : « Je siège dans une assemblée où sont présents des élus de LREM et des élus RN (N.D.L.R. la…

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