Strasbourg

Strasbourg. Jean-Louis Mandel, du côté d’Alechinsky et de ses poètes

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Entre Pierre Alechinsky et lui, c’est une vieille histoire. Lorsque jeune assistant à la fac de médecine, Jean-Louis Mandel toucha son premier salaire, il se précipita dans une librairie-galerie de Strasbourg qui proposait des estampes contemporaines. « On y trouvait notamment les Suites Prisunic, lancées au début des années 70 par la fameuse chaîne de magasins. Elles avaient pour objectif de rendre l’art accessible au plus grand nombre en les mettant en vente au prix de 100 francs », rappelle-t-il.

Issu de mouvement Cobra, plasticien hanté par les mots, l’encre, les signes et le monde du livre, Pierre Alechinsky avait apporté sa…

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