Saint-Étienne

une hausse de 200% du nombre de caméras

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Pas d’écriteau, pas de blason, pas de nom sur l’interphone. Non pas que la municipalité cherche à cacher son centre de supervision urbaine (CSU). C’est surtout la sensibilité du site qui justifie cette discrétion.

Le lieu héberge le cœur du réacteur de la police municipale. Rien n’y parait, de prime abord. Le décor est plutôt celui attendu dans une installation de ce type : sept postes informatiques alignés devant un imposant mur d’images. C’est de cette pièce, derrière une grande baie vitrée, que tout est piloté. Avec vue directe sur l’écran géant, des opérateurs radio sont chargés de lancer les interventions des équipes de terrain.

Saint-Étienne/Gier/Ondaine | Vidéoprotection : combien de caméras au-dessus de vos…

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