Strasbourg

Strasbourg. Pixacare lève près de 2 millions d’euros pour améliorer le suivi des plaies chroniques

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L’idée de Pixacare est née d’un constat. Pour documenter l’évolution des lésions des patients ou solliciter l’avis d’un confrère, médecins et infirmiers prennent très régulièrement des photos avec leur smartphone. Résultat résumé : les photos de patients rejoignent les galeries personnelles et les images sont échangées via WhatsApp. Avec les enjeux de sécurité et de confidentialité que l’on imagine.

En mars 2018, c’est sur la base de cette observation que Frédéric Bodin, professeur de chirurgie plastique aux Hôpitaux universitaires de Strasbourg (HUS), propose au Hacking Health Camp – le…

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