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J’ai grandi au milieu des bobines de fil et des rouleaux de tissus dans l’atelier de ma mère, à Rennes, puis à Vezin-le-Coquet. J’ai appris à aimer ces couleurs et les formes caractéristiques des tenues traditionnelles Laotiennes (et donc Thaïlandaises) et la confection en général », explique Xivin Norasingh dont la mère a réussi à se faire une clientèle grâce à son savoir-faire unique et reconnu des Laotiens exilés en France.
C’est donc sans difficultés que l’homme de 45 ans, dit Noum (« jeune » en laotien) a passé son BTS en management des unités commerciales à 25 ans, a été responsable d’une boutique de prêt-à-porter à Pacé, puis directeur adjoint dans une autre boutique du même genre à Paris, puis commercial pour une marque de…
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