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le déni d’une mère, l’aveuglement d’une sœur

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La tombe du père Jacques Hamel, dans le cimetière de la basilique de Bonsecours à Rouen, en juillet 2021. JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP

Il est rare, dans les procès pour terrorisme, que les familles des auteurs admettent avoir eu connaissance de la radicalisation des accusés ou des auteurs d’attentat tués par les forces de l’ordre. Les proches d’Abdel-Malik Petitjean, entendues vendredi 25 février par la cour d’assises spécialement composée de Paris, n’ont pas dérogé à la règle. Mais il est plus rare encore qu’ils se présentent comme les principales victimes, à l’instar de la mère de celui qui a assassiné le prêtre Jacques Hamel dans son église de Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), le 26 juillet 2016.

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