Paris

“Et mon père” de Nicolas Peyrac

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1975, Paris s’étiole, Sartre est vieux, il ne boit plus au café de Flore, Aragon a vrillé sexuellement après la mort de son épouse Elsa Triolet et Juliette Gréco, depuis longtemps, s’est refait le nez. Nostalgique par procuration, Nicolas Peyrac, enfant du 14e arrondissement, raconte dans sa chanson la vie de son père dans le Paris d’après-guerre. 

Contrairement à d’autres artistes des années 70, Peyrac n’a pas du tout galéré dans les cafés concerts et les cabarets parisiens. En potassant sa médecine dans sa chambre, il se distrait en écrivant des chansons, reprises plus tard par Gérard Lenorman, Patrick Juvet et Marie Laforêt comme “tant qu’il y aura des chevaux”. 

Mais à 24 ans, Nicolas Peyrac se dit, pourquoi pas lui !…

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