Un détenu meurt en prison à Tarascon après avoir été condamné à Nice, sa famille ne croit pas au suicide
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« Refik se sentait menacé. Il avait peur pour sa vie ». Behim Mata, 31 ans, vient d’Italie à Nice pour alerter sur la mort suspecte de son frère dont il était si proche à la prison de Tarascon.
Refik a été trouvé pendu dans sa cellule le 17 décembre. La colère de sa famille, installée à Imperia, n’a d’égale que son chagrin.
« On a pris la moitié du cœur de mes parents », affirme Behim Mata. Personne ne peut croire au suicide de mon frère. Quelques heures avant sa découverte, je lui ai parlé au téléphone jusqu’à deux heures du matin. Deux jours plus tard, je devais lui apporter les vêtements qu’il m’avait demandés. »
Albi, un jeune ressortissant albanais, confirme qu’il y a beaucoup de zones d’ombre autour de la mort.
Lui a la particularité…
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