[ad_1]
test2
À Rennes, toutes les semaines ou presque, une maison est démolie par des coups de pelleteuse pour laisser place à des immeubles. Il y a quelques jours, ce fut le tour d’une demeure à l’angle du boulevard Georges Clémenceau et de la rue Le Guen de Kerangual mais aussi d’un ancien bar de la rue de Nantes. Mais ces démolitions ne plaisant pas à tout le monde. Toutes les mois ou presque, des collectifs s’émeuvent de la disparition des faubourgs, de leur quotidien.
Dernier en date : celui de la Motte Baril. « Nous disons stop à l’hyper densification du quartier de Mouezy et aux méthodes abusives des promoteurs, » explique Hubert Menay. Vent debout contre trois projets en cours et à venir, cette association annonce le dépôt d’une cinquantaine…
Lire la suite
[ad_2]