Nantes

Nantes. Ces WhatsApp de voisins qui virent au bureau de plainte

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Tout avait pourtant bien commencé. Octobre 2020, deuxième confinement. Maxime (prénom d’emprunt), 33 ans, lance un WhatsApp de voisins dans son immeuble nantais. « J’avais glissé un mot dans les boîtes aux lettres pour proposer aux habitants de s’inscrire. L’objectif de base, c’était de créer de l’entraide, demander un service ou bien en rendre un. » Une dizaine de voisins disent banco (grosso modo la moitié de l’immeuble) : des familles, des quadras, des…

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