France

Musique. Ernest en grand pour fêter ses 10 ans

[ad_1]

« Pour chaque frère, chaque sœur qui manque à l’appel/Tout ce qui meurt à ton cœur pour chapelle… » Ce sont des paroles d’une chanson qui devrait s’appeler Khuneh. En farsi, principale langue iranienne, ça veut dire « qui saigne » ou « maison », précise Julien Grayer : « C’est un genre de déclaration d’amour à ceux qui viennent de loin dans des conditions souvent difficiles, qui ont un deuil souvent impossible à faire et à qui on ne facilite pas la vie ici… »

Cette chanson magnifique est riche de sa musique, propice aux échappées, autant que de la force de ses mots, touchants mais pas larmoyants. Elle figure au menu du dernier spectacle d’Ernest, Anachronicoscope , coproduit notamment par les Dominicains de Guebwiller…

Lire la suite
[ad_2]

Bouton retour en haut de la page