« Les ramener d’urgence, il fallait le faire »

Dans quel contexte êtes-vous parti en Pologne ?

Raphaël PITTI. « La Ville de Metz, à l’initiative de François Grosdidier, appuyé par Khalifé Khalifé, premier adjoint en charge de l’action sociale, a décidé d’organiser un rapatriement d’Ukrainiens sur Metz. C’était en lien avec le CCAS et la métropole. Je suis conseiller municipal. Ils ont eu besoin de mes compétences de professeur de médecine d’urgence et de catastrophe et je suis considéré comme un expert en ce qui concerne la protection des populations. Nous avons été missionnés, avec Victor Jacquet, directeur de cabinet de la Métropole, pour savoir où les bus devaient se rendre et comment recruter 250 réfugiés parmi les milliers qui arrivaient. »

Il y aura d’autres voyages de Metz vers la…