
Ce texte « répond à une exigence démocratique fondamentale, celle de la clarté et de la lisibilité du suffrage universel dans nos grandes villes », en prévoyant « l’application du mode de scrutin de droit commun » mettant ainsi fin à une « exception », a défendu le rapporteur MoDem, Jean-Paul Mattei. Il a toutefois déposé un amendement « visant à exclure Lyon du champ de la réforme ».
« En effet, la situation locale, marquée par l’existence d’un second cycle de scrutin déjà organisé pour la métropole, rend inenvisageable, en l’état, la tenue simultanée de trois élections municipales le même jour », a-t-il fait valoir. Le texte prévoit pour l’essentiel d’instaurer, dès les municipales de 2026, deux scrutins distincts…