France

Marie-Annick Horel, la prison dans la peau – Bretagne

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Il lui aura fallu plus d’un an pour avoir l’impression de ne plus sentir « ce mélange de transpiration, de puanteur, de savon, de déodorant, de parfums, de différents détergents et d’effluves de cuisine ». L’odeur particulière de la prison, « qui s’infiltre en vous », Marie-Annick Horel l’a respirée durant 37 années, de 1980 à 2017.

« Aimer les gens, les respecter, même s’ils sont commis des actes graves »

Désormais en retraite, elle a gardé l’habitude de parler fort. « C’est comme ça en prison… Même nous, on a le verbe haut », sourit-elle. Malgré cela, elle a eu l’impression qu’on n’entendait pas les…

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