Lyon

Lyon. Le coup de gueule des agents de surveillance de la voie publique « pas assez considérés »

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Bachir, 51 ans, n’en peut plus. L’agent de surveillance de la voie publique (ASVP) depuis 2005 n’a cessé de voir sa charge de travail croître au fil des années. « Le stationnement payant, celui gênant, le service fourrière, le poste de commandement radio, les demandes d’intervention sur véhicules […] Les glissements de tâche vers les missions de la Police municipale sont de plus en plus fréquents », dénonce-t-il.

Mais c’est encore plus le « manque de considération » des élus qui a poussé la CGT à déposer un préavis de grève , le 8 décembre dernier. Le premier depuis de nombreuses années. « La Ville n’a été que très peu reconnaissante pour ses agents qui ont démontré une grande capacité d’adaptation, notamment pendant…

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