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Qui n’a pas passé un moment, devant sa glace, à se triturer la peau du visage afin de venir d’un bouton ou d’un point noir récalcitrant ? Souvent, cette quête ne se limite pas à une seule aspérité et l’on laisse facilement déborder par cette quête de la perfection. Si l’on regrette souvent ce passage à l’acte, avec traces à la clé, on recommence à la première occasion.
Le problème, c’est que ce phénomène, somme toute « potache » au temps de l’adolescence, peut devenir un trouble appelé dermatillomanie, et aboutir à des situations critiques à force de percer, d’arracher et de maltraiter sa peau.
Camille Montaz, une jeune femme de 31 ans, originaire de Grenoble qui habite à Orléans depuis juin 2020, en a souffert…
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