Grenoble
à Grenoble, les soignants font difficilement face aux non-vaccinés
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Cet homme n’a pas quarante ans. Aucune comorbidité. Aucune pathologie. Un commerce dans l’agglomération. Et il l’a dit aux soignants de la clinique : « Je fais partie des cons qui ont joué à la loterie et qui ont perdu ». Deux semaines de réanimation plus tard, après avoir tutoyé la mort « de très près » selon un médecin, ce solide trentenaire actif « ne parvenait plus à porter son verre à la bouche ». La nuit, dit une infirmière, « il a des crises de delirium dues à la réanimation. Il en a pour des mois de séquelles. Des mois à pleurer ».
« En France, on a pourtant un vaccin que d’autres pays supplient d’obtenir… »
Pour les 1 200 personnels du groupe mutualiste, les mois, eux, se comptent en jours de travail…
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