bras de fer entre la mairie et le gérant autour du Café du théâtre
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Une riposte somme toute prévisible…
Une riposte somme toute prévisible au bras de fer juridique engagé par le chef. Lié à la Ville depuis 2009 via une « convention d’occupation du domaine public », Hugo Lederer avait vu celle-ci renouvelée en 2015. Le bail arrivait à échéance le 1er juin dernier… Et si un nouvel appel d’offres a bel et bien été lancé, Hugo Lederer n’y a pas participé, s’engageant dès 2020 sur un autre terrain, d’abord par courriers à la Ville restés « sans réponse », ensuite en assignant celle-ci devant le tribunal judiciaire : la requalification de la convention en « bail commercial ».
« Stratégie économique »
Tentative désespérée ? Le destin du Café du théâtre, créé en 2003, était lié au théâtre national…
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