Annecy

La chronique du temps présent de Cécile Coulon : « Tour de France (sans vélo) »

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Il y eut d’abord la majesté paisible des bords du lac d’Annecy, au mois de juin, quand la chaleur ne brûlait pas entièrement ce qui ressemblait à de l’herbe verte et du goudron frais. Les cours terminaient : à cinq heures de l’après-midi, tout autour du lac à l’eau couleur de caraïbe ou de glacier, étudiants et lycéens se baignent, des coureurs avalent leurs kilomètres en sortant du bureau, des centaines de cyclistes, travailleurs, touristes, sportifs du dimanche et des autres jours de la semaine font, du ciel, un cortège vif, une liane rapide protégée par les montagnes d’un côté, et la fraîcheur de l’autre. Il y a toujours une sorte d’éblouissement à cheminer autour de cette ville : le paysage est comme un…

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