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Au Mipim, Namur tend la main aux investisseurs privés pour ses projets restants

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« Par rapport à il y a 10 ans, nous avons un nombre restreint de projets. C’est une très bonne nouvelle car ça signifie que beaucoup d’entre eux sont finalisés ou ont déjà trouvé des partenaires. Nous avons donc un problème de luxe: il ne reste aujourd’hui que quelques poches pour lesquelles la main est tendue vers les investisseurs privés », a expliqué le bourgmestre de la ville, Maxime Prévot.

A Namur comme ailleurs, « on a besoin comme de pain de ces investisseurs privés, ce qui implique qu’on parvienne à une convergence de vision et qu’on dispose de procédures rapides », a poursuivi le responsable.

« Namur n’ayant jamais été un bassin industriel, nous ne sommes pas confrontés au même défi qu’une ville comme Charleroi. Nous, notre objectif, c’est de garder une…

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