
Yann Lavallez, comme Marien Moreau, Tuomas Sammelvuo (qui était blessé) ou Mathieu Labbé, a vécu le Final Four de Ligue des champions 2005 depuis le coin des joueurs. Une position privilégiée, si l’on peut ainsi dire, pour vivre la folie de Salonique. « On a eu le temps de regarder à droite, à gauche, de voir des regards de haine chez les supporteurs grecs. J’avais mon grand Marien Moreau à côté pour me protéger », s’amuse celui qui est aujourd’hui manageur de Tourcoing.
Vingt ans après, l’ancien passeur n° 2 du TVB aime raconter cette « belle histoire ». « On avait enchaîné une saison extraordinaire, rembobine-t-il. Surtout, un groupe s’était formé et l’histoire s’est créée jusqu’à ce Final Four et ce titre. Cela a été une épopée…