
« On veut être pilote là-dessus, pour accompagner la question de la carte scolaire », a indiqué le recteur Jean-Philippe Agresti au cours d’un entretien avec la presse, le 4 mars. « Les équipes travaillent à la transformation de notre administration en intégrant des dispositifs d’intelligence artificielle. L’enjeu, c’est d’avoir des IA souveraines (c’est-à-dire développées et contrôlées par l’État français, pour garantir la sécurité des données, NDLR), qui permettent d’objectiver les décisions. Sur la carte scolaire, on a bon espoir que l’IA soit un outil d’aide à la décision, et d’objectivation des décisions. »
Un grand nombre de données à analyser
« Nous travaillons en équipe restreinte, avec une entreprise, le directeur des services…