
Dans un Coubertin animé, Paris n’a jamais laissé place au doute. Dès les premières minutes, les hommes de Raul Gonzalez ont imposé leur rythme, s’appuyant sur une défense agressive et une attaque bien huilée. Luc Steins, à la baguette, a parfaitement orchestré le jeu parisien, trouvant régulièrement ses pivots et libérant les espaces pour les ailiers. Nantes, privé d’Aymeric Minne et Lucas De La Bretèche, a peiné à trouver des solutions offensives, se heurtant à une défense compacte.
Mené de cinq buts à la pause (16-11), Nantes a tenté de réagir en seconde période. Plus incisif, le « H » est revenu à trois longueurs à l’approche du dernier quart d’heure, notamment grâce à Thibaud Briet et Romain Lagarde. Mais Paris à trouver les ressources pour…